JEREMY LAVAL

BIOGRAPHIE
BIOGRAPHIE
BIOGRAPHIE
Parmi ses sources d’inspiration, outre ses maîtres, Basquiat ou Twombly, Dalle-Ore reconnaît volontiers une réelle affection pour les années 50-60, l’esthétisme désuet des affiches publicitaires, leurs couleurs et leurs grains de papier si particuliers. Age d’or de la réclame, des slogans, et des personnages de BD dont elle apprécie l’esprit, le ton gai et insouciant. Chez elle tout est propice à la création. De ses nombreux voyages, elle rapporte l’essence même de son inspiration et l’énergie qui se dégage de ses toiles. Curieuse et observatrice, elle photographie, note, dessine et consigne tous ces instants volés sur son carnet de molesquine.
Avec une prédilection pour les thèmes urbains et les personnages emblématiques du XXe siècle, sa galerie de portraits passe des icônes Pop aux symboles de la mode, des artistes engagés aux personnages politiques. Dalle-Ore les extraits de leur contexte, accentue les traits, exacerbe les courbes, sature les couleurs, elle compose.
Loin d’être statique, son univers est en perpétuel mouvement et invite l’œil du spectateur à voyager sur sa toile, à l’instar des lettres qu’elle calligraphie et qui semblent se promener avec une fausse désinvolture.
BIOGRAPHIE
Andrzej Malinowski est un peintre français d’origine polonaise. Il est diplômé de l’Académie des Beaux-Arts de Varsovie. Il vit en France depuis plus de 40 ans en exerçant les métiers d’illustrateur, de directeur artistique, d’affichiste et de sculpteur plasticien. L’une de ses affiches les plus célèbres est celle du Grand Bleu de Luc Besson. Depuis plus d’une décennie, il se consacre à la peinture de chevalet. Les œuvres de Malinowski font partie des collections du monde entier. Depuis un an, il est représenté en exclusivité par les Galeries Marciano.
Ses tableaux enrichissent d’une note très particulière et pertinente le paysage de la création contemporaine. Ils sont remarquables par leur originalité, leur exigence d’une parfaite exécution et par leur poésie. Il ose jouer les notes de la pudeur, de l’intime et du secret. Il persiste avec maestria dans son retour aux éternelles références culturelles et spirituelles. Les personnages de ses tableaux émergeant de transparences blanches, rouges et bleues, nous subjuguent par leurs regards et leurs gestes.
BIOGRAPHIE
Né à Grasse en 1965, Philippe Pasqua est un artiste-peintre autodidacte qui échappe aux institutions et aux circuits classiques. Il s’est inspiré de Francis Bacon et Lucian Freud et s’est imposé progressivement comme l’un des artistes majeurs de sa génération. Son art impressionne, bouscule et fascine. Sa première exposition a eu lieu en 1990 à l’Espace Confluence à Paris. Il organise de nombreuses expositions personnelles, participe à différents évènements dans le monde entier (Singapour, Hong Kong, Moscou, Londres, Taiwan…).
Le vaudou et les fétiches ont marqué le début de sa carrière. Ceux-ci font maintenant place aux portraits, aux nus et aux vanités. Il s’intéresse à l’art du portrait (visages, corps nus) sans se détourner de la réalité grâce à la force expressive de la couleur. Il va au-delà de la représentation physique, il cherche l’émotion dans l’individu par l’intermédiaire de différents sujets tous aussi durs les uns que les autres : prostituées, transsexuels, trisomiques, aveugles… sans vouloir choquer. Il peint ainsi ces thèmes sur des grands formats (2 à 5 mètres). Le monumental est étroitement lié à la vulnérabilité de ces visages et de ces corps qui portent le sceau de l’exclusion, dans une société que la différence dérange. Chaque toile est le fruit d’une lutte, d’une tension entre ce qui est « montrable » et « toléré » et ce qui est socialement refoulé et occulté. L’artiste se fait anatomiste de l’âme humaine. Ainsi, de par le choix des thèmes et aussi le jeu des couleurs et des empattements, ses toiles dégagent une puissance émotionnelle intense et explosive qui ne peut laisser indifférents.
Technique mixte sur toile – 130 x 130 cm
Technique mixte sur toile – 187 x 226 cm
BIOGRAPHIE
| BONNEC |
Bonnec forment un duo tout à fait exceptionnel! De renommée internationale, leurs tableaux sont présents dans les collections du monde entier, Ils ont les honneurs de la presse mondiale et du monde des Arts.
“Des tableaux emprunts de poésie et de fraicheur”. CONNAISSANCES DES ARTS
“Bonnec ou l’Art de peindre”. ME MAURICE RHEIMS
“Internationalement reconnus, Bonnec sourient dans leurs allégories d’un charme désarmant”. THE TIME of CHICAGO
“Exprimé par une chromatique des plus fortes…Transparence d’un air qu’on voudrait toujours pouvoir respirer”. ARTSACTUALITÉS
“Bonnec,ce duo à quatre mains de couleurs et de poésie” GAZETTE DROUOT
“Une transparence atmosphèrique…Et cest tellement beau que l’on est bien incapable de résister”. J.Mélèze. PARISCOPE
“Pour d’avantage de luminosité et de gaieté aussi, lescouleurs tendres chassant toujours plus les ombres du tableau”. RogerBouillot L’OEIL
“Du bon soleil heureux, celui qui illumine leurs tableaux.” ROBERT SABATIER
“Mes talentueux amis Bonnec”. RAYMOND DEVOS
“Vous êtes poètes!” MARCEL MARCEAU
BIOGRAPHIE
Isabel Miramontes est une artiste espagnole née à Saint Jacques de Compostelle en Espagne. Elle vit et travaille aujourd’hui en Belgique. Cependant, le lieu de pèlerinage d’où elle vient la fascine toujours autant et notamment pour ses racines celtiques. Miramontes a étudié les Beaux-Arts à l’Institut Sainte Marie en Belgique. Elle a ensuite poursuivi sa formation à l’Académie des Beaux-Arts de Saint Gilles dans le Studio de Patrick Pouillart. L’artiste y a fait ses armes et a acquis une expérience solide en dessin et en croquis sur le vif de modèle vivant.
Elle crée des sculptures en bronze à la patine singulière. Ses oeuvres, plus ou moins réalistes, s’apparentent à une hybridation entre le corps humain et l’objet. La sculptrice y intègre les notions de corps, de mouvement et de vie humaine. Elle laisse entrevoir un vide sur chacune de ses oeuvres. Semblables aux découpes des momies de l’Egypte Antique, les corps partagés entre le mouvement et le vide ont tout l’air d’être à moitié ensevelis.
Pour Miramontes la sculpture n’est pas un bloc de matière auquel on donne une forme, mais un vide auquel l’artiste donne une surface. Ses corps découpés en lanières saisissent un mouvement, un sentiment, et tout en respectant les canons anatomiques, font entrer une autre dimension dans l’oeuvre d’art : le sensible.